Le ministre de la défense Ehoud Barak a déclaré mercredi que le gouvernement d'Israël "prendra des décisions sur des questions vitales pour l'avenir du peuple juif et de sa sécurité par lui-même."
S'exprimant lors d'une conférence à l'institut national des études de sécurité à Tel Aviv, il a fait remarquer que les Etats-Unis et Israël différent dans leurs attitudes envers la question iranienne et le "tic tac des horloges". Néanmoins, il a souligné que les Etats-Unis sont conscients qu'Israël décidera indépendamment de monter une opération militaire contre les installations nucléaires de l'Iran.
S'adressant aux critiques sur le processus décisionnel du gouvernement, il a dit : "je ne vais pas prétendre que de longues discussions garantissent scientifiquement des décisions parfaites. L'incertitude est partie intégrante de ce à quoi nous avons à faire."
Il a ajouté : "en définitive, il est évident que le gouvernement israélien est seul responsable de la prise de décision dans les questions qui sont vitales pour l'avenir et la sécurité de l'état d'Israël, et je voudrais ajouter avec prudence, du peuple juif."
"Le moment pertinent est le dernier moment où quelque chose peut encore être fait. Ce moment doit être identifié, il n'y a aucune raison de l'accélérer ou d'annoncer qu'il est venu, mais il n'y a aucune justification à fermer les yeux."
"Je suis convaincu que la responsabilité politique et sécuritaire peut être combinée avec le maintien de la relation spéciale avec les Etats-Unis, notre plus important allié. C'est important pour notre cause commune, empêcher l'Iran de devenir nucléaire. Malgré la préférence générale pour la diplomatie, aucune option ne doit être retirée de la table."
Le ministre de la défense a également abordé les tentatives iraniennes visant à neutraliser toute tentative de saboter son programme nucléaire, et a mentionné l'augmentation des centrifugeuses, des sites d'enrichissement ainsi que de l'enrichissement d'uranium à un faible niveau. "Les iraniens sont patients," a-t-il fait remarqué.
"Personne ne veut la guerre, mais le fait que l'ennemi achète des systèmes d'armes est une épée au-dessus de nos têtes que ne laisse pas d'autre choix que d'agir," a dit Barak. "Nous ne pouvons pas fermer les yeux aussi longtemps que l'Iran s'arme."
Parlant de l'effet régional de capacités nucléaires iraniennes, le ministre de la défense a déclaré : "les saoudiens disent ouvertement 'nous deviendrons nucléaire, rapidement.' La Turquie va sûrement être contrainte à devenir nucléaire. La nouvelle Egypte se trouvera également entraînée dans la course nucléaire."
S'exprimant lors d'une conférence à l'institut national des études de sécurité à Tel Aviv, il a fait remarquer que les Etats-Unis et Israël différent dans leurs attitudes envers la question iranienne et le "tic tac des horloges". Néanmoins, il a souligné que les Etats-Unis sont conscients qu'Israël décidera indépendamment de monter une opération militaire contre les installations nucléaires de l'Iran.
S'adressant aux critiques sur le processus décisionnel du gouvernement, il a dit : "je ne vais pas prétendre que de longues discussions garantissent scientifiquement des décisions parfaites. L'incertitude est partie intégrante de ce à quoi nous avons à faire."
Il a ajouté : "en définitive, il est évident que le gouvernement israélien est seul responsable de la prise de décision dans les questions qui sont vitales pour l'avenir et la sécurité de l'état d'Israël, et je voudrais ajouter avec prudence, du peuple juif."
"Le moment pertinent est le dernier moment où quelque chose peut encore être fait. Ce moment doit être identifié, il n'y a aucune raison de l'accélérer ou d'annoncer qu'il est venu, mais il n'y a aucune justification à fermer les yeux."
"Je suis convaincu que la responsabilité politique et sécuritaire peut être combinée avec le maintien de la relation spéciale avec les Etats-Unis, notre plus important allié. C'est important pour notre cause commune, empêcher l'Iran de devenir nucléaire. Malgré la préférence générale pour la diplomatie, aucune option ne doit être retirée de la table."
Le ministre de la défense a également abordé les tentatives iraniennes visant à neutraliser toute tentative de saboter son programme nucléaire, et a mentionné l'augmentation des centrifugeuses, des sites d'enrichissement ainsi que de l'enrichissement d'uranium à un faible niveau. "Les iraniens sont patients," a-t-il fait remarqué.
"Personne ne veut la guerre, mais le fait que l'ennemi achète des systèmes d'armes est une épée au-dessus de nos têtes que ne laisse pas d'autre choix que d'agir," a dit Barak. "Nous ne pouvons pas fermer les yeux aussi longtemps que l'Iran s'arme."
Parlant de l'effet régional de capacités nucléaires iraniennes, le ministre de la défense a déclaré : "les saoudiens disent ouvertement 'nous deviendrons nucléaire, rapidement.' La Turquie va sûrement être contrainte à devenir nucléaire. La nouvelle Egypte se trouvera également entraînée dans la course nucléaire."
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